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  • Quatre kilos de cocaïne cachés dans une corde d'escalade

    C'est une histoire digne d'un film, mais c'est bien la réalité. La police française a récemment déjoué un réseau de trafic de cocaïne, avec une découverte pour le moins insolite : de la drogue cachée dans une corde d'escalade . Deux hommes, soupçonnés d'être au cœur de ce réseau international, ont été arrêtés. Cela faisait des mois que les enquêteurs du service de police judiciaire des Hauts-de-Seine surveillaient de près ce réseau de trafic de cocaïne. L'enquête a pris un tournant la semaine dernière, quand ils ont assisté à une rencontre discrète dans un hôtel parisien. Là, dans une ambiance feutrée, un sac a changé de mains entre deux hommes, sous les yeux des policiers en planque. Au premier abord, rien ne semblait suspect. Le sac contenait une simple corde d'escalade, longue de 80 mètres . Mais les policiers, flairant quelque chose d'étrange, ont décidé d'y regarder de plus près. En coupant la corde, ils ont découvert, à leur grande surprise, quatre kilos de cocaïne soigneusement dissimulés à l'intérieur. Une cachette insolite, qui témoigne de l'ingéniosité des trafiquants. Les deux hommes arrêtés n'étaient pas de simples exécutants. L'un d'eux, un Nigérian vivant en région rouennaise, est soupçonné d'être le cerveau de l'opération. L'autre, un Allemand, venait tout juste de débarquer à Paris en provenance de São Paulo, au Brésil, avec la précieuse cargaison. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Après avoir mis la main sur les deux suspects, les enquêteurs ont mené une perquisition chez le Nigérian. Ce qu'ils ont découvert sur place a confirmé leurs soupçons : sept autres kilos de cocaïne, prêts à être écoulés. Samedi 10 août, les deux hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire. L'enquête continue pour démanteler entièrement ce réseau de trafic de drogue, qui s'étendait bien au-delà des frontières françaises. Ces articles pourraient aussi vous intéresser : Valley Uprising : Immersion dans le berceau de l'escalade libre « Beyond Rock Bottom » - L'escalade, une nouvelle voie de guérison face à la dépendance Addiction à l'escalade et sevrage, les révélations d'un travail de recherche

  • Avis sur les chaussons Torque de So iLL : Une révolution discrète et élégante

    Les Torque de So iLL sont un peu comme ces films qui ne font pas de bruit à leur sortie, mais qui deviennent des incontournables une fois qu’on les a découverts. Au premier regard, ils n’ont peut-être pas l’air très différents des autres chaussons d’escalade. Mais dès qu’on les enfile et qu’on les teste sur le mur, on se rend compte qu’ils ont vraiment quelque chose de spécial à offrir. Une sensibilité qui inspire confiance Ce qui frappe dès le départ avec les Torque, c’est leur capacité à offrir une sensibilité exceptionnelle tout en restant robustes là où il le faut. La tension qui part du talon jusqu’à la pointe est parfaitement équilibrée, permettant une excellente précision sur les petites prises. Et puis, il y a ce velcro innovant, placé différemment des autres modèles, qui fait bien plus que simplement fermer le chausson : il renforce la pression sur les points d’appui. Le résultat, c’est une confiance accrue, même sur les micro-prises les plus exigeantes. Confort et espace pour tous les pieds Le confort est essentiel, que vous soyez un·e grimpeur·euse occasionnel·le ou passionné·e. Sur ce point, les Torque se démarquent vraiment. Leur forme légèrement plus large que la moyenne laisse de l’espace aux orteils, un vrai soulagement pour ceux et celles qui ont l’habitude de souffrir dans des chaussons trop serrés . La tige en microfibre, d’une seule pièce, enveloppe le pied avec douceur, tout en conservant une structure solide. Même sans serrer trop fort, on a l’impression que le chausson s’ajuste naturellement à la forme du pied, un plus indéniable pour celles et ceux qui cherchent un modèle à la fois performant et confortable. Polyvalence : prêt pour tous les terrains Là où les Torque font vraiment la différence, c’est dans leur capacité à s’adapter à différents types de terrains. Leur semelle est divisée de manière ingénieuse, avec une rigidité sur les côtés et une souplesse au centre. Cela signifie qu’ils sont aussi efficaces sur de grandes surfaces nécessitant un contact complet que sur des petites prises demandant une précision chirurgicale. Que vous soyez sur un gros volume ou une minuscule réglette, ces chaussons vous donnent l’impression d’avoir toujours le bon outil au bout des pieds. Un talon bien pensé Le talon est un autre aspect qui mérite d’être mis en avant. Il est conçu pour maintenir la tension de l’avant vers l’arrière , ce qui donne une sensation de maintien et de sécurité, même dans les mouvements les plus techniques. Les détails esthétiques, gravés au laser, ne sont pas là que pour le style : ils aident à gérer la tension et à prévenir l’étirement excessif du matériau, améliorant ainsi la performance globale des chaussons. Verdict Les Torque de So iLL ne sont peut-être pas les chaussons les plus flashy du marché, mais ils se distinguent par une élégance discrète et une attention au détail qui plaira à celles et ceux qui apprécient autant le style que la performance. Ils allient confort, sensibilité et polyvalence avec une facilité déconcertante. Que vous soyez un·e grimpeur·euse expérimenté·e à la recherche de précision ou un·e amateur·e en quête de confort, les Torque pourraient bien être la paire que vous attendiez sans le savoir. Le seul défaut de ces chaussons d'escalade c'est leur prix qui se situe dans le très haut de la fourchette, presque 180€ ce n'est pas donné. Est-ce que l'on achèterait une paire maintenant que l'on eu l'occasion de les tester ? Oui clairement, le fait de pouvoir les enfiler sans douleur dès le premier jour, sans sacrifier la performance, suffirait à nous convaincre. Caractéristiques techniques : Genre : Unisexe Pointure : La même que celle des chaussures de ville Type de pratique : Intérieure et extérieure Niveau de pratique : Confirmé Asymétrie : Moyenne (28°) Poids : 215g Disponibilité : Torque - So iLL - En vente sur le site de Snowleader . Toute notre sélection de chaussons à retrouver ici .

  • Vers un nouveau modèle de coexistence avec la nature : Entretien avec Nolwen Berthier

    Alors que je profitais d'une pause bien méritée entre deux épreuves de la Coupe du Monde d'escalade à Briançon , je laissais mon cerveau se faire aspirer par Instagram et suis tombé sur un post de la grimpeuse Nolwen Berthier qui a retenu mon attention : une photo d'elle en train d'escalader de nuit un pont situé en plein cœur de Marseille . Étant un grimpeur habitué au Viaduc des Fauvettes , intéressé par le phénomène de grimpe urbaine et amateur d'escalade à la frontale, j'ai évidemment sauté sur l'occasion pour prendre contact avec Nolwen afin qu'elle m'en dise plus sur cette histoire. Dès les premières secondes de notre échange, Nolwen me remet gentiment les pendules à l'heure. Cette session d'escalade sur le pont de la Fausse Monnaie, à Marseille, n'était pas juste une escapade rigolote (avec une cotation évaluée à 7b tout de même) mais une démarche visant à mettre en lumière la pollution lumineuse de nos villes et, plus globalement, notre relation souvent dominatrice avec le vivant . En effet, si c'est d'abord l'image qui a retenu mon attention, le message derrière le projet global, intitulé "Une voie pour la nature", est nettement plus intéressant. Ce que cherche à faire Nolwen Berthier, c'est explorer des modèles de coexistence plus équilibrés avec le vivant, au travers d'un projet multidimensionnel qui vise à inspirer une nouvelle manière de vivre en harmonie avec la nature, en utilisant l'escalade comme moyen de sensibilisation environnementale. "C'est une idée que j'avais en tête depuis un moment. L'idée est de consulter divers experts – scientifiques, artistes, militants – pour discuter de la protection du vivant. Ces experts, rencontrés dans mon cadre professionnel, méritent d'être connus de la communauté d'escalade. En associant des images d'escalade à leurs messages, je voulais relier ces deux univers. La Maïf a lancé un appel à projets 'Les Écoaventuriers' pour des voyages sportifs bas carbone. J'ai soumis ce projet et il a été sélectionné, ce qui a permis de le concrétiser rapidement." Si vous connaissez déjà Nolwen Berthier, vous ignorez peut-être qu'en plus d'être une grimpeuse influente et co-fondatrice du Festival El Capp Fest , elle a également été responsable RSE dans une start-up, où elle a élaboré la stratégie de développement durable de l'entreprise. Un rôle qui l'a sensibilisée aux enjeux environnementaux et sociaux et à la responsabilité des organisations pour relever les défis écologiques . Après six ans, suite au rachat de l'entreprise, elle a cofondé le collectif 'Mission Possible' pour continuer cette mission de manière indépendante. Ce collectif accompagne aujourd'hui les organisations et les personnes de la prise de conscience des changements nécessaires à l'action concrète . D'où son souhait de faire le pont entre son univers professionnel, ses rencontres et l'escalade. La première étape de "Une voie pour la nature" a démarré avec une expédition en voilier dans les Calanques de Marseille. Nolwen m'explique : "Nous avons navigué dans les Calanques avec Emka, bioacousticienne, navigatrice et violoniste. Elle m'a fait découvrir la protection des océans à travers l'écoute des sons sous-marins, illustrant comment les bruits des navires peuvent perturber la vie marine. Nous avons escaladé ensemble, mêlant ainsi nos passions et sensibilités pour l'environnement." Le volet escalade urbaine, que l'on a abordé en introduction de cet article, a pour objectif d'aborder la question de la pollution lumineuse. À Marseille, Nolwen a collaboré avec Samuel Busson du Cerema, spécialiste de la gestion de l'éclairage public . Son travail vise précisément à réduire l'impact de la pollution lumineuse sur la biodiversité. Les prochaines étapes du projet, prévues pour fin septembre, se concentreront sur les rivières et les forêts. L'idée est d'explorer au total quatre écosystèmes majeurs : l'océan, la ville, les forêts et les rivières . Chacune de ces aventures est partagée sur les réseaux sociaux et une web-série est en préparation pour diffusion l'année prochaine, en partenariat avec Edelrid. Pour suivre tout ça au fil des mois, rendez-vous sur le compte Instagram de Nolwen .

  • Championnats du Monde Jeune IFSC 2024 à Guiyang, toutes les informations

    Dans quelques semaines, Guiyang, une ville de 4,3 millions d’habitants nichée dans le sud-ouest de la Chine, ouvrira ses portes aux jeunes grimpeurs du monde entier pour les Championnats du Monde Jeune IFSC 2024. Pour la première fois depuis sept ans, la Chine sera à nouveau le théâtre de cet événement prestigieux , après avoir accueilli l’édition de 2016 à Guangzhou. Le programme s'étendra du jeudi 22 août jusqu'au samedi 31 août et comprendra des épreuves dans toutes les disciplines de l'escalade - Bloc, Difficulté, et Vitesse - et pour trois groupes d'âge : les moins de 16 ans, les moins de 18 ans, et les moins de 20 ans. Lors des Championnats du Monde Jeune de l'année dernière à Séoul, en Corée du Sud, des athlètes tels que Hannes Van Duysen de Belgique et Sara Copar de Slovénie ont brillé. Hannes Van Duysen a ajouté deux médailles à son palmarès, tandis que Sara Copar a remporté l'or en Difficulté et l'argent en Bloc, portant ainsi son total à cinq médailles d'or et trois d'argent aux Championnats du Monde Jeune, entre 2019 et 2023. Dans un témoignage, Sara Copar, née en 2005 et encore éligible pour l'édition 2024, a partagé son enthousiasme pour ces compétitions : « Mon expérience aux Championnats du Monde Jeune de l'année dernière a été incroyable. Participer à de tels événements est toujours quelque chose de spécial. Il n'y a pas de place pour l'erreur, mais si l'ambiance est bonne et que vous êtes bien entouré, tout est possible. » Le Japon a dominé le tableau des médailles lors des Championnats du Monde Jeune de Séoul en 2023, avec un total impressionnant de 20 médailles, dont six en or. Pour celles et ceux qui souhaitent suivre les performances des jeunes grimpeurs à Guiyang, les informations sur les diffusions en direct ne sont pas encore confirmées, mais il est probable qu’elles soient disponibles sur la chaîne YouTube officielle de l’IFSC. Programme provisoire (heure française, UTC+2) Jeudi 22 août : 01:00 – 09:30 : Qualifications Difficulté Hommes et Femmes U18 Vendredi 23 août : 01:00 – 08:00 : Qualifications Difficulté Hommes et Femmes U20 11:00 – 13:30 : Demi-finales Difficulté Hommes et Femmes U18 et U20 Samedi 24 août : 01:00 – 09:30 : Qualifications Difficulté Hommes et Femmes U16 13:00 – 15:00 : Finales Difficulté Hommes et Femmes U18 et U20 Dimanche 25 août : 01:00 – 03:30 : Demi-finales Difficulté Hommes et Femmes U16 13:00 – 14:00 : Finales Difficulté Hommes et Femmes U16 Lundi 26 août : 01:00 – 07:30 : Qualifications Bloc Hommes et Femmes U18 Mardi 27 août : 01:00 – 03:30 : Demi-finales Bloc Hommes et Femmes U18 13:00 – 15:00 : Finales Bloc Hommes et Femmes U18 Mercredi 28 août : 01:00 – 05:15 : Qualifications Bloc Hommes et Femmes U20 11:00 – 13:30 : Qualifications et Finales Vitesse Hommes et Femmes U18 Jeudi 29 août : 01:00 – 03:30 : Demi-finales Bloc Hommes et Femmes U20 10:30 – 11:30 : Finales Vitesse Hommes et Femmes U16 13:00 – 15:00 : Finales Bloc Hommes et Femmes U20 Vendredi 30 août : 01:00 – 07:30 : Qualifications Bloc Hommes et Femmes U16 11:00 – 15:00 : Qualifications et Finales Vitesse Hommes et Femmes U20 Samedi 31 août : 01:00 – 03:30 : Demi-finales Bloc Hommes et Femmes U16 13:00 – 15:00 : Finales Bloc Hommes et Femmes U16 Les passionnés d'escalade peuvent s'attendre à un événement exceptionnel, rassemblant les meilleurs jeunes talents du monde entier dans une compétition intense et captivante.

  • Free Solo sur la Tour Eiffel pendant la cérémonie de clôture des JO de Paris

    Dimanche après-midi, alors que Paris se préparait à la cérémonie de clôture des Jeux olympiques 2024 , un grimpeur britannique de 33 ans a surpris tout le monde en escaladant la Tour Eiffel en free solo . Cet événement imprévu a entraîné une fermeture temporaire de l’emblématique monument, mais il a également résonné au sein de la communauté de l'escalade urbaine, rappelant les tensions entre passion et sécurité. Vers 14h30, sous un ciel estival, le grimpeur, torse nu et dépourvu de tout équipement de sécurité, a entamé son ascension de la Dame de fer. Face à lui, les 330 mètres d’acier emblématique, connus pour leur complexité et leurs dangers. Ignorant les réglementations strictes, il a tracé son chemin à travers la structure, sous les regards émerveillés et inquiets des touristes présents. Très vite, des vidéos de son exploit ont envahi les réseaux sociaux, déclenchant des réactions partagées entre admiration pour sa bravoure et critiques pour l'inconscience des risques encourus. L'ascension en free solo, sans corde ni protection, est souvent perçue comme l’expression ultime de la maîtrise technique et de la confiance en soi. Pour les pratiquants, c’est une manière de se connecter profondément avec l’environnement, de ressentir chaque mouvement, chaque prise, en sachant que la moindre erreur peut être fatale. Toutefois, cet acte, réalisé sur un monument aussi symbolique et fréquenté que la Tour Eiffel, a pris une dimension particulière, surtout en cette période olympique . Une intervention rapide des autorités L'escalade, bien que brève, a nécessité une intervention rapide des autorités. Dès 14h45, les forces de l'ordre ont été alertées et ont réagi. Le grimpeur a été intercepté juste en dessous du troisième étage, avant de pouvoir atteindre le sommet . Placé en garde à vue pour mise en danger de la vie d’autrui et intrusion dans un lieu historique ou culturel, il fait désormais l'objet d'une enquête menée par le commissariat du 7e arrondissement de Paris. Pendant une heure, la Tour Eiffel est restée fermée au public. La Société d'exploitation de la Tour Eiffel (Sete) a travaillé rapidement pour minimiser l'impact de cet incident, permettant aux visiteurs de reprendre leur exploration du monument dès 15h30, sans autre interruption. L’héritage d'un précédent : l’ascension de 2023 Cette performance audacieuse n’est pas sans rappeler un autre exploit marquant dans l’histoire récente de la Tour Eiffel. En août 2023, un jeune grimpeur de 24 ans avait lui aussi défié les hauteurs de la Dame de fer , avant de sauter en parachute depuis le sommet. Ce saut, également réalisé sans autorisation, avait nécessité une planification minutieuse. À l'aube, à 5h09, l'homme avait commencé à grimper par le pilier Est, transportant un sac à dos contenant son équipement de base jump. Malgré les efforts des équipes de sécurité pour l’intercepter, le grimpeur avait atteint une hauteur suffisante pour effectuer son saut . Il avait atterri sur le stade Emile-Anthoine, situé à proximité du monument. Cet exploit, salué par certains pour son audace, avait également soulevé des inquiétudes quant aux risques encourus, non seulement pour le grimpeur mais aussi pour les personnes présentes sur ou autour de la structure. Ces articles peuvent aussi vous intéresser : Omniwal : Free solo et base jump sur la Tour Montparnasse Escalade urbaine à Berne avec Hannah Morris Aux origines de l'escalade urbaine, entre audace et controverse Urbex, quand la grimpe vient au service de l'exploration urbaine

  • Janja Garnbret remporte l'or aux Jeux Olympiques d'escalade !

    Après une courte pause, les grimpeuses étaient déjà de retour pour l'épreuve finale de l'escalade aux Jeux Olympiques de Paris 2024 : la difficulté . Ce moment crucial qui devait départager les huit finalistes, en grimpant le plus haut possible pour accumuler un maximum de points et espérer décrocher une médaille. Dans les tribunes, Toby Roberts, tout juste médaillé d'or , était présent pour suivre cet instant décisif. Comme mentionné dans notre récapitulatif de la finale de bloc , la Slovène Janja Garnbret, grande gagnante des JO de Tokyo, semble s’être effectivement blessée au doigt. Un handicap dont elle se serait bien passée. La Coréenne Chaehyun Seo, qui n’avait obtenu que 28,9 points lors de la finale de bloc, a été la première à s'élancer dans l'épreuve de difficulté. Elle a livré une belle performance en atteignant une hauteur respectable, ce qui lui a permis de totaliser 105 points. Quant à la Japonaise Ai Mori, qui avait rencontré de sérieuses difficultés ce matin, elle a réalisé une ascension presque parfaite, obtenant 96,1 points sur 100 possibles . Ces deux exemples montrent à quel point il serait pertinent de séparer les disciplines pour les prochains Jeux à Los Angeles . Il est indéniable que chaque discipline a ses spécialistes, qui méritent d'être mis en lumière. Ce fut un véritable coup dur de voir Oriane Bertone chuter si tôt dans la voie , au même endroit qu'Oceania MacKenzie, victime d'une zipette de la main ! Cependant, nous savions déjà qu'elle aurait dû marquer plus de points lors de la finale de bloc pour espérer décrocher une médaille . Elle termine dernière du classement sur le combiné. L'Américaine Brooke Raboutou, qui avait accumulé 84 points en bloc, a réalisé une superbe performance , lui assurant une médaille. De son côté, Jessica Pilz a tout donné lors de cette finale, éclatant de joie en redescendant de sa voie. Et c'est une grimpe magnifique que nous aura offert Janja Garnbret qui remporte sa seconde médaille d'or aux Jeux Olympiques ! Médaille d'or : Janja Garnbret Médaille de bronze : Brooke Raboutou Médaille d'argent : Jessica Pilz Les résultats de la finale féminine de difficulté Les résultats de la finale féminine du combiné

  • Les résultats de la finale féminine de bloc aux JO de Paris 2024

    Ce matin, la dernière journée d'épreuves d'escalade des Jeux Olympiques de Paris a commencé avec les finales féminines du combiné. La grimpeuse française Oriane Bertone était particulièrement attendue pour ces finales. Depuis le début de la compétition, elle a dû faire face à des adversaires de taille, comme la Slovène Janja Garnbret , surnommée "la reine" de l'escalade. Malgré la concurrence féroce, Oriane Bertone reste le meilleur espoir de médaille pour la France dans cette discipline . La matinée a débuté avec la finale de bloc , avant celle de difficulté prévue à 12h35. Les spectateurs ont eu l’honneur de voir la légendaire Catherine Destivelle ouvrir cette finale très attendue, en présence de grimpeuses de haut niveau. Petit rappel des règles : cette finale de bloc permettait d'aller chercher un total de 100 points, répartis sur 4 blocs, chacun valant 25 points . Chaque bloc comporte deux zones : une zone à 10 points et une autre à 5 points. Un malus de 0,1 point est appliqué pour chaque essai manqué. L'attention était tournée sur les ouvertures, un sujet qui a suscité de nombreuses discussions lors des demi-finales. Certains observateurs avaient noté que l es grimpeuses de grande taille semblaient avantagées , tandis que d'autres, comme Ai Mori, pouvaient rencontrer des difficultés importantes. Dès le premier bloc, ces préoccupations se sont confirmées : Ai Mori, du haut de ses 1,54 mètre, a été incapable de réaliser le "run & jump" en raison de l’éloignement de la prise de main droite. Si l'on doit évidemment reconnaitre qu'il est n'est pas tache aisée de proposer des ouvertures qui peuvent répondre aux capacités de grimpeuses et grimpeurs de différentes tailles, il est tout de même très surprenant de voir en finale de JO une athlète de ce calibre à ce point en difficulté sur un départ . Les ouvreurs devront certainement s'expliquer sur cette situation. Janja Garnbret et l'Américaine Brooke Raboutou ont su se démarquer en maximisant leur score . En revanche, notre athlète tricolore, spécialiste du bloc, a rencontré plus de difficultés. Elle devra réaliser un véritable exploit en difficulté pour espérer monter sur le podium. Bien que la grimpeuse slovène occupe la première place du classement provisoire, il était impossible de ne pas remarquer la tension sur son visage. Il est difficile de dire si cela est dû à la pression ou à une éventuelle blessure, mais cela soulève des questions, d'autant plus que J anja Garnbret ne nous a pas habitués à ce genre de signes de fragilité . Les résultats de la finale féminine de bloc La suite du programme pour les JO Paris 2024 d'escalade Samedi 10 août 12h35 : Finale féminine de difficulté et remise des médailles Comment suivre l'escalade en live ? Le live des finales d'escalade est disponible sur « france.tv Paris 2024 ». Pas d'abonnement nécessaire, il suffit de se rendre sur ce lien  et de se créer un un compte.

  • Siebe Vanhee et Tommy Caldwell conquièrent l'Eiger en une journée

    Mardi 30 juillet, le grimpeur belge Siebe Vanhee, accompagné de l'Américain Tommy Caldwell, a accompli un exploit monumental en réussissant l’ascension en une journée d’« Odyssee » sur la face nord de l’Eiger . Cette voie, établie en 2015 par Roger Schaeli, Simon Gietl et Robert Jasper, est considérée comme la grande voie en libre la plus difficile de l’Eiger. Composée de 33 longueurs, avec des difficultés allant jusqu'à 8a+ et une longueur totale de 1400 mètres , cette ascension représente un véritable défi pour les alpinistes du monde entier. Une collaboration internationale pour une voie légendaire Vanhee a partagé les détails de cette incroyable aventure : "Il y a quelques mois, Tommy m’a contacté pour grimper ensemble cet été en Europe. Nous nous rencontrions pour quelques jours de travail sur le développement de produits pour notre sponsor commun, Edelrid. Après notre réunion, Tommy et moi avons rejoint Sébastien Berthe et Dörte Pietron sur des voies incroyables au Schwartze Wand à Höllental, en Allemagne. Ensuite, nous étions impatients de faire plus et quelque chose de plus grand. Je n’avais jamais grimpé sur l’Eiger, et Tommy non plus. La météo semblait être favorable. Nous avions des doutes sur la sécheresse de la paroi après un printemps particulièrement humide, mais à notre surprise, la paroi semblait aussi sèche que possible." La préparation et l'ascension La décision de s'attaquer à « Odyssee » était une évidence pour les deux grimpeurs. Avec des ascensions précédentes réalisées en une journée en 2020 par Nicolas Favresse et Seb Berthe, ainsi que par Jacopo Larcher et Babsi Zangerl , Siebe Vanhee et Tommy Caldwell ont trouvé l'inspiration pour tenter cette ascension mythique. Toutefois, la tâche n'était pas sans défis. La voie, connue pour ses passages complexes et engageants, ainsi que pour ses sections difficiles à trouver après un printemps humide , s'annonçait ardue. Le mardi 30 juillet, à 3h30 du matin, ils se sont lancés à l'assaut de la voie. "Le tirage à pile ou face a décidé que Tommy commencerait. L’objectif évident était d’alterner les longueurs et de grimper librement chaque longueur. Tommy avait déjà indiqué qu’il n’avait pas beaucoup grimpé pendant son voyage en Europe et n’était pas en grande forme, mais il donnerait tout." À partir de la longueur 8, la première cotée 7c/8a, Tommy Caldwell est passé en mode soutien pour aider Siebe Vanhee à réussir la voie. À partir de ce point, Siebe a pris les devants, essayant de réaliser un maximum de longueurs difficiles à vue. "Sauf pour la longueur clé, la longueur 10 (8a+), nous avons décidé qu’il serait plus judicieux que Tommy me fasse un flash. Il est monté en premier, a marqué les prises et m’a donné un flash puissant. J’ai gravi la longueur grâce à son aide !" Les défis de l'ascension Le parcours n'a pas été sans embûches. Siebe Vanhee raconte les difficultés rencontrées : "L’escalade était lente, trouver les mouvements était difficile, mais j’ai réussi sans aucune chute jusqu’à la longueur 20 (7c) où je me suis perdu trop de fois. Cela a été un combat de 45 minutes pour essayer de passer cette longueur sans chute. Malheureusement, j’ai chuté juste avant la dernière dégaine et j’ai pris une solide chute de 15 mètres." Malgré cette chute impressionnante, Siebe a persévéré, réussissant finalement la longueur à sa deuxième tentative. Les grimpeurs ont continué leur ascension à travers les longueurs suivantes, marquées par des passages interminables et des défis techniques. "Les 4 dernières longueurs, seulement cotées 6a/b, nous ont pris encore trois heures. Le rocher était instable et, à ce moment-là, mon cerveau était épuisé par 18,5 heures de concentration sur une escalade difficile. Il faisait sombre et la protection était difficile à trouver. Le manque de sommeil a commencé à se faire sentir et rester éveillé aux relais est devenu un défi." Un succès triomphal Après un total de 21,5 heures d’efforts ininterrompus, les deux grimpeurs ont atteint le sommet de la voie . "À 1h du matin, nous avions gravi Odyssee en une journée ! Tommy a été un partenaire incroyable, positif et optimiste quant à la possibilité que je réussisse cette ascension. J’ai rarement ressenti une aussi bonne collaboration avec quelqu’un que je connais à peine. Non seulement il m’a soutenu tout le long, mais il était simplement heureux et s’amusait dans cette épreuve, essayant de grimper librement autant que possible." Leur succès sur l’Eiger, l'une des faces nord les plus redoutables des Alpes, témoigne de la force de la cordée et de l’esprit d’aventure qui les anime.

  • Le grimpeur britannique Toby Roberts remporte la médaille d'or aux Jeux Olympiques de Paris 2024

    À peine la finale de bloc terminée , les grimpeurs ont dû s'attaquer à l'épreuve de difficulté, sans beaucoup de temps pour récupérer, pour cette ultime étape des Jeux Olympiques de Paris 2024. La voie, toujours exigeante, a vu un panel d'athlètes exceptionnels grimper très haut. C'est Hamish McArthur qui a ouvert le bal, suivi de l'Américain Colin Duffy, un grimpeur qui a réalisé une performance remarquable lors de la finale de bloc avec 68,3 points, se plaçant à un point seulement du Japonais Sorato Anraku. Beaucoup d'espoir reposait sur l'ascension de Paul Jenft, qui avait accumulé un retard important ce matin . Malheureusement, il a manqué l'opportunité de clipper la dégaine lorsqu'il en avait encore la possibilité, terminant avec un total de 78,4 points. Bien que ce soit une énorme déception pour les supportrices et supporters français, tout le monde reconnaît les exploits de ce grimpeur, qui nous a fait vibrer jusqu'au bout des JO de Paris 2024 . Jakob Schubert, qui s'est élancé avant Toby Roberts et Sorato Anraku, a placé la barre très haute en chutant à un seul mouvement du sommet , totalisant 96 points sur les 100 possibles. Avant même que les autres grimpeurs ne touchent leur première prise, on savait déjà que le grimpeur autrichien serait sur le podium. C'est une situation encore plus difficile pour Alberto Ginés, qui avait remporté la première médaille d'or de l'histoire de l'escalade aux JO de Tokyo. Cette fois-ci, il doit s'attaquer à la voie alors qu'il repartira sans médaille, quelle que soit sa performance . Une situation similaire s'est présentée pour l'un des favoris de ces JO : Adam Ondra, pénalisé par son score lors de la finale de bloc. Adam Ondra a néanmoins tout donné, tombant sur la dernière prise avec 96 points . Retrouvera-t-on Adam Ondra aux prochains JO de Los Angeles ? Difficile à dire aujourd'hui, et cela dépendra probablement de l'évolution du format combiné. Jusqu'au bout, on a cru que la domination japonaise serait récompensée par l'or pour Sorato Anraku, mais c'est finalement Toby Roberts, du haut de ses 19 ans, qui est devenu le nouveau champion olympique du combiné . Derrière lui Sorato Anraku remporte l'argent, et sur la troisième marche, avec le bronze, Jakob Schubert. Les résultats de la finale masculine de difficulté Les résultats de la finale masculine du combiné La suite du programme pour les JO Paris 2024 d'escalade Samedi 10 août 10h15 : Finale féminine de bloc 12h35 : Finale féminine de difficulté et remise des médailles Comment suivre l'escalade en live ? Le live des finales féminines d'escalade seront disponibles sur « france.tv Paris 2024 ». Aucun abonnement spécifique est nécessaire, il suffit de se rendre sur ce lien  et de se créer un compte.

  • Les résultats de la finale masculine de bloc aux JO de Paris 2024

    Ce matin, on entamait le tout dernier jour des épreuves du combiné masculin d'escalade . Une journée intense de finales attendait les grimpeurs, qui devaient enchaîner l'épreuve de difficulté peu de temps après la finale de bloc. Le public est venu en masse au Bourget pour suivre ces dernières ascensions, un événement important pour les Français, qui espéraient voir Paul Jenft, l'athlète tricolore, décrocher une médaille . Comme chaque matin, une personnalité notable était présente pour marquer le lancement des épreuves. Après Manu Cornu et Micka Mawem, c'était au tour d'Alex Honnold de faire son apparition devant les 6 000 spectateurs et spectatrices . Les ouvreurs ont une fois de plus proposé un circuit de blocs très exigeant pour les grimpeurs . À ce stade de la compétition, la pression était immense, et la moindre erreur pouvait coûter une place sur le podium. C'est ce qui est arrivé au grimpeur tchèque Adam Ondra, qui a rencontré de grandes difficultés sur le dernier bloc, se laissant largement distancer par les autres athlètes. Sorato Anraku a été fidèle à sa réputation de grimpeur exceptionnel, prenant une avance notable lors de cette première étape de la finale avec 69,3 points . Belle performance également de l'Américain Colin Duffy, qui a impressionné tout le monde lors de ses passages ce matin. Quant à Paul Jenft, bien que des surprises soient toujours possibles en épreuve de difficulté, comme nous l'avons vu ces derniers jours, il reste difficile d'être optimiste . Une situation qu'il partage d'ailleurs avec Adam Ondra et Alberto Ginés. Les résultats de la finale masculine de bloc La suite du programme pour les JO Paris 2024 d'escalade Vendredi 9 août 12h35 : Finale masculine de difficulté et remise des médailles Samedi 10 août 10h15 : Finale féminine de bloc 12h35 : Finale féminine de difficulté et remise des médailles Comment suivre l'escalade en live ? Le live des finales d'escalade est disponible sur « france.tv Paris 2024 ». Pas d'abonnement nécessaire, il suffit de se rendre sur ce lien et de se créer un un compte.

  • L'or pour l'Indonésien Veddriq Leonardo en escalade de vitesse

    Hier, l'escalade de vitesse a offert un spectacle exceptionnel avec une performance remarquable des grimpeuses polonaises : Aleksandra Miroslaw a remporté l'or et Aleksandra Kalucka le bronze. Aujourd'hui, c'était au tour des hommes de briller au Bourget pour leur grande finale. Malheureusement, le Français Bassa Mawem a été éliminé dès les quarts de finale par Veddriq Leonardo . Samuel Watson, grand favori et recordman de la discipline, a manqué la médaille d'or en demi-finale face au grimpeur chinois Peng Wu, avec un chrono de 4,93 secondes contre 4,85 secondes pour son adversaire. Le niveau de compétition était particulièrement élevé, tous les grimpeurs des demi-finales ayant réalisé des temps sous les 5 secondes ! L'Américain Samuel Watson a tout de même réussi à améliorer son propre record du monde, le faisant passer de 4,75 secondes à 4,74 secondes, et a décroché la médaille de bronze. En finale, les deux grimpeurs ont aussi battu leurs records personnels : Veddriq Leonardo a remporté l'or avec un chrono de 4,75 secondes , tandis que Peng Wu a obtenu l'argent avec un temps de 4,77 secondes. Cette finale a été la plus rapide de l'histoire de la discipline ! Si la décision n'est pas encore prise, il n'est pas impossible que la voie évolue d'ici les prochains JO prévus à Los Angeles en 2028 . Une décision qui parait nécessaire au regard de la proximité des scores aujourd'hui. Les résultats de la finale masculine pour la vitesse La suite du programme pour les JO Paris 2024 d'escalade Vendredi 9 août 10h15 : Finale masculine de bloc 12h35 : Finale masculine de difficulté et remise des médailles Samedi 10 août 10h15 : Finale féminine de bloc 12h35 : Finale féminine de difficulté et remise des médailles Comment suivre l'escalade en live ? Les finales pour le combiné d'escalade seront disponibles sur « france.tv Paris 2024 » . Pas d'abonnement nécessaire, il suffit de se rendre sur ce lien  et de se créer un un compte.

  • Les résultats de la demi-finale féminine de difficulté aux JO de Paris 2024

    Ce matin, c'est au tour des grimpeuses de se lancer dans la demi-finale de difficulté . La grande question pour les passionné(e)s et les expert(e)s était de savoir si cette voie serait du même acabit que celle proposée aux hommes . Aucun grimpeur n'a réussi à atteindre le sommet hier, le meilleur score étant de 72 points sur 100, réalisé par Alberto Ginès. Cela a indéniablement eu un impact sur le spectacle et sur la capacité du show à captiver les néophytes . Parmi les grandes favorites de ce matin, on retrouve la grimpeuse slovène Janja Garnbret, ainsi qu'Oriane Bertone et Brooke Raboutou. Ces trois athlètes ont déjà creusé un sérieux écart avec les autres lors de la demi-finale de bloc , avec respectivement 99,6, 84,5 et 83,7 points. Après Manu Cornu hier, c'est aujourd'hui au tour de Micka Mawem, le frère de Bassa Mawem que nous retrouverons en finale de vitesse, d'animer la foule depuis le tapis. Et c'est Lauren Mukheibir qui ouvre le bal des ascensions du jour. Erin McNeice, la grimpeuse britannique, a offert une très belle performance en montant haut dans sa voie. Arrivée 10ème lors de la demi-finale de bloc avec 59,6 points, elle totalise désormais 123,7 points. Bien que cela ne suffise pas pour obtenir une place en finale, c'est une belle performance pour cette athlète qui s'est tout récemment dédiée à l'escalade . Zélia Avezou, classée douzième suite à la demi-finale de bloc, se retrouve malheureusement trop bas dans le classement général pour atteindre la finale. C'est donc la fin de l'aventure pour le clan Avezou , que nous avons été ravis de supporter pendant ces JO. Heureusement pour les supportrices et supporters français, Oriane Bertone réussit à se qualifier pour les finales . Bien que sa performance ait été en demi-teinte, son excellent score obtenu jusqu'ici lui permet de maintenir une place haute dans le classement, avec un total de 129,6 points pour ces demi-finales du combiné. On se permet d'ailleurs d'évoquer la possibilité que ce soit un choix délibéré de la part de la grimpeuse de ne pas avoir poussé trop loin pour se préserver pour la suite . Notre grimpeuse tricolore, qui ne quitte pas son masque en dehors des épreuves, ne semble en effet rien laisser au hasard. Jusqu'au bout, nous nous sommes demandés si les grimpeuses réussiraient à grimper plus haut que les hommes sur la voie qui leur était proposée. Il a fallu attendre l'arrivée de Jessica Pilz sur le mur pour que ce soit enfin le cas. Elle a réussi à atteindre 88.1 points. La Japonaise Ai Mori, spécialiste de la discipline, a réalisé un parcours presque parfait. Elle a touché la dernière prise avant de chuter, au même endroit que Janja Garnbret qui se qualifie avec un total de 195.7 points . Les résultats de la demi-finale féminine de difficulté Les résultats du combiné pour les grimpeuses La suite du programme pour les JO Paris 2024 d'escalade Jeudi 8 août 12h35 : Phases finales masculines de vitesse (quarts de finale, demi-finales et finale) et remise des médailles Vendredi 9 août 10h15 : Finale masculine de bloc 12h35 : Finale masculine de difficulté et remise des médailles Samedi 10 août 10h15 : Finale féminine de bloc 12h35 : Finale féminine de difficulté et remise des médailles Comment suivre l'escalade en live ? Le live des épreuves d'escalade est disponible sur « france.tv Paris 2024 » . Pas d'abonnement nécessaire, il suffit de se rendre sur ce lien  et de se créer un un compte.

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